AGALMATA est une très petite entreprise, créée à Paris en 2006, spécialisée dans le conseil en collection, l'expertise (scientifique/marché) et la réhabilitation patrimoniale d'objets d'art et de collections.
Au fil des années, l'histoire singulière d'AGALMATA s'est construite autour de fonds d'art hors normes, d'œuvres non attribuées, non caractérisées, orphelines, que nous avons expertisées, "protégées" (restaurations, soclage), réhabilitées auprès de la communauté scientifique, des musées et des acteurs du marché.
AGALMATA est une très petite entreprise, créée à Paris en 2006, spécialisée dans le conseil en collection, l'expertise (scientifique/marché) et la réhabilitation patrimoniale d'objets d'art et de collections.
Au fil des années, l'histoire singulière d'AGALMATA s'est construite autour de fonds d'art hors normes, d'œuvres non attribuées, non caractérisées, orphelines, que nous avons expertisées, "protégées" (restaurations, soclage), réhabilitées auprès de la communauté scientifique, des musées et des acteurs du marché.
Agalmata (grec ancien) : objets qui remplissent de joie et de satisfaction || images ou sculptures || offrandes
perspectives ouvertes
Le cabinet d'expertise AGALMATA rompt les démarcations sectorielles en reliant la sphère académique, les propriétaires particuliers et le marché de l'art.
Au-delà de la redécouverte circonstancielle de biens artistiques, chefs-d'œuvre oubliés orphelins, AGALMATA contribue également à l'établissement de nouvelles valeurs patrimoniales par la reconnaissance et la publication en diffusion ouverte ou restreinte de biens artistiques intégrant les indicateurs de valeurs rares : intérêt technique ; portée symbolique ou idéologique ; valeur patrimoniale ; scientificité ; charge onirique ; potentiel émotionnel ; rareté ...
En privilégiant,
l'exigence et la rigueur scientifiques
Par le recours à des démarches protocolaires, par la vérification des sources et des corpus référentiels, par le diagnostic physique direct et réitéré si nécessaire (autopsie - de visu), par la recherche de traçabilité des objets d'art
la discrétion absolue
la sécurité des œuvres
Par le maintien de leur intégrité physique, avec des mesures de conservation préventives et/ou curatives attachées à un constat d'état, et par le recours à des dispositifs sécurisés (protocoles sur mesure, lieux hautement sécurisés)
l'indépendance et l'intégrité
La validation des œuvres est d'abord patrimoniale, artistique et historique ; elle se fait en marge du système commercial traditionnel et, de ce fait, constitue un complément, voire une alternative, à la "certification marché" - un prix d'adjudication souvent ancien, erroné parfois. Notre approche transversale et multidisciplinaire garantie des valeurs difficiles à saisir, notamment dans des situations d’incertitude sur les œuvres inédites ou insolites. Sur demande de leur propriétaire, la réhabilitation des objets d'art d'exception - auprès des chercheurs, des institutions muséales, ou des acteurs du marché de l'art - se fait en toute indépendance, avec impartialité.
l'audace
En privilégiant l'intervention d’artistes, de compositeurs et de poètes,
en transformant les présentations d'œuvres en expériences émotionnelles immersives
les coopérations
AGALMATA agit en concertation avec d'autres acteurs culturels et des savants de disciplines variées (historiens, chimistes, critiques d’art, conservateurs, restaurateurs, archéologues, ...), en privilégiant la pluridisciplinarité, l'excellence, et autant que possible le positionnement international.
Au-delà de la redécouverte circonstancielle de biens artistiques, chefs-d'œuvre oubliés orphelins, AGALMATA contribue également à l'établissement de nouvelles valeurs patrimoniales par la reconnaissance et la publication en diffusion ouverte ou restreinte de biens artistiques intégrant les indicateurs de valeurs rares : intérêt technique ; portée symbolique ou idéologique ; valeur patrimoniale ; scientificité ; charge onirique ; potentiel émotionnel ; rareté ...
En privilégiant,
l'exigence et la rigueur scientifiques
Par le recours à des démarches protocolaires, par la vérification des sources et des corpus référentiels, par le diagnostic physique direct et réitéré si nécessaire (autopsie - de visu), par la recherche de traçabilité des objets d'art
la discrétion absolue
la sécurité des œuvres
Par le maintien de leur intégrité physique, avec des mesures de conservation préventives et/ou curatives attachées à un constat d'état, et par le recours à des dispositifs sécurisés (protocoles sur mesure, lieux hautement sécurisés)
l'indépendance et l'intégrité
La validation des œuvres est d'abord patrimoniale, artistique et historique ; elle se fait en marge du système commercial traditionnel et, de ce fait, constitue un complément, voire une alternative, à la "certification marché" - un prix d'adjudication souvent ancien, erroné parfois. Notre approche transversale et multidisciplinaire garantie des valeurs difficiles à saisir, notamment dans des situations d’incertitude sur les œuvres inédites ou insolites. Sur demande de leur propriétaire, la réhabilitation des objets d'art d'exception - auprès des chercheurs, des institutions muséales, ou des acteurs du marché de l'art - se fait en toute indépendance, avec impartialité.
l'audace
En privilégiant l'intervention d’artistes, de compositeurs et de poètes,
en transformant les présentations d'œuvres en expériences émotionnelles immersives
les coopérations
AGALMATA agit en concertation avec d'autres acteurs culturels et des savants de disciplines variées (historiens, chimistes, critiques d’art, conservateurs, restaurateurs, archéologues, ...), en privilégiant la pluridisciplinarité, l'excellence, et autant que possible le positionnement international.
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La fondatrice,
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Laure Chevalier, PhD - docteur en histoire de l’art et archéologie de l’université Paris X - dirige la société AGALMATA qu’elle a créée en 2006. Dans ce cadre, Laure Chevalier est conseiller "art advisor", expert généraliste en Arts européens et méditerranéens de l'antiquité à la modernité, spécialiste des œuvres et fonds d'art hors normes (inédits, unicum, fonds d'atelier anciens, objets d'art indéterminés ou non attribués), et conseil analyste en collections.
Parallèlement, Laure Chevalier poursuit des activités de recherche (Centrage / Ateliers d'archéologie comparée et Anthropologie de l'art), enseigne les méthodes d’expertise (authentification, attribution, estimation, traçabilité des œuvres d'art et des antiquités) à l’université, et participe à des programmes pluridisciplinaires, notamment en matière de lutte contre les trafics d'œuvres d'art [projet national POLAR - MRSEI (ANR /coordination ENSP) ; projet européen NETCHER H2020 (Commission européenne / Coordination CNRS (France) ; formations spécifiques à l'École du Louvre et à L'Institut National du Patrimoine (INP)].
Quelle éducation du regard a-t-elle reçue ?
Le regard de Laure Chevalier sur les productions d'art résulte d'un apprentissage à la fois théorique et pratique, démarré durant l"enfance aux côtés d'une mère artiste-peintre et graveur, d'une professeure de peinture à l'huile, l'artiste Delphine Fernique, et d'un père, un temps marchand de reproductions de tableaux de Grands Maîtres sur les marchés de Bretagne et de Normandie... Une éducation du regard pleinement stimulée par la pratique du dessin et de la peinture, aux cours du soir des Beaux-Arts de la Ville de Paris (Atelier d'Agnès Carré / Place des Vosges), entre ses 14 et ses 19 ans,
Le décryptage des techniques artistiques, la lecture des patines, et le déchiffrement des indices de l'âge sur les objets d'art toutes typologies et périodes confondues relèvent, quant à eux, de son ancien métier d'archéologue exercé en Grèce, entre 1995 et 2005, comme chercheur associé de l'Ecole française d'Athènes.
L'apprentissage auprès du professeur Olivier Masson (éminent spécialiste des antiquités chypriotes, féru de collections anciennes et curieux du marché de l'art), fut également déterminant - Laure Chevalier ayant eu le privilège d'être la secrétaire particulière du professeur émérite durant les derniers mois de sa vie.
Parallèlement, Laure Chevalier poursuit des activités de recherche (Centrage / Ateliers d'archéologie comparée et Anthropologie de l'art), enseigne les méthodes d’expertise (authentification, attribution, estimation, traçabilité des œuvres d'art et des antiquités) à l’université, et participe à des programmes pluridisciplinaires, notamment en matière de lutte contre les trafics d'œuvres d'art [projet national POLAR - MRSEI (ANR /coordination ENSP) ; projet européen NETCHER H2020 (Commission européenne / Coordination CNRS (France) ; formations spécifiques à l'École du Louvre et à L'Institut National du Patrimoine (INP)].
Quelle éducation du regard a-t-elle reçue ?
Le regard de Laure Chevalier sur les productions d'art résulte d'un apprentissage à la fois théorique et pratique, démarré durant l"enfance aux côtés d'une mère artiste-peintre et graveur, d'une professeure de peinture à l'huile, l'artiste Delphine Fernique, et d'un père, un temps marchand de reproductions de tableaux de Grands Maîtres sur les marchés de Bretagne et de Normandie... Une éducation du regard pleinement stimulée par la pratique du dessin et de la peinture, aux cours du soir des Beaux-Arts de la Ville de Paris (Atelier d'Agnès Carré / Place des Vosges), entre ses 14 et ses 19 ans,
Le décryptage des techniques artistiques, la lecture des patines, et le déchiffrement des indices de l'âge sur les objets d'art toutes typologies et périodes confondues relèvent, quant à eux, de son ancien métier d'archéologue exercé en Grèce, entre 1995 et 2005, comme chercheur associé de l'Ecole française d'Athènes.
L'apprentissage auprès du professeur Olivier Masson (éminent spécialiste des antiquités chypriotes, féru de collections anciennes et curieux du marché de l'art), fut également déterminant - Laure Chevalier ayant eu le privilège d'être la secrétaire particulière du professeur émérite durant les derniers mois de sa vie.
Le réseau de spécialistes et de chercheurs
Une intelligence pluridisciplinaire ...
C’est souvent l’apport de différentes disciplines – sinon la collégialité de spécialistes - qui dans un consensus authentifie l’œuvre et son auteur, ou son contexte de création. Les éléments de preuve doivent s’inscrire dans une réalité historique, scientifique, et artistique.
Pour les "trésors", objets d'art inestimables de très haute valeur patrimoniale, c'est un "muet" consensus de la communauté scientifique qui valide pleinement une expertise approfondie, méthodique et impartiale ... C'est en effet sur le terrain de la Science que tout se joue !
Par conséquent, la réhabilitation patrimoniale d'une œuvre méconnue, sa mise en [pleine] lumière, relève d'opérations complexes, définies sur mesure.
Fort du cercle académique et du parcours transversal de sa dirigeante, le cabinet AGALMATA fédère un réseau de consultants et de partenaires hautement qualifiés. La complémentarité et la transversalité des approches ouvrent des perspectives élargies pour les œuvres et fonds d'art d'exception...
À chaque projet une équipe dédiée construite sur mesure, dirigée et coordonnée par le Dr Laure Chevalier.
Pour les "trésors", objets d'art inestimables de très haute valeur patrimoniale, c'est un "muet" consensus de la communauté scientifique qui valide pleinement une expertise approfondie, méthodique et impartiale ... C'est en effet sur le terrain de la Science que tout se joue !
Par conséquent, la réhabilitation patrimoniale d'une œuvre méconnue, sa mise en [pleine] lumière, relève d'opérations complexes, définies sur mesure.
Fort du cercle académique et du parcours transversal de sa dirigeante, le cabinet AGALMATA fédère un réseau de consultants et de partenaires hautement qualifiés. La complémentarité et la transversalité des approches ouvrent des perspectives élargies pour les œuvres et fonds d'art d'exception...
À chaque projet une équipe dédiée construite sur mesure, dirigée et coordonnée par le Dr Laure Chevalier.
Au-delà des responsabilités, un enchantement sans cesse renouvelé ...
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